La destruction totalitaire des États-Unis d’Amérique est enclenchée
Je disais dans mon précédent article que je ne savais ce qui allait se passer aux Etats-Unis dans les jours qui allaient suivre, et j’ajoutais que je craignais le pire. Le pire est en train d’arriver. Je parlais d’une ombre totalitaire qui planait au-dessus du pays. L’ombre s’est désormais faite bien plus lourde.
L’intrusion dans le Capitole d’une poignée de soutiens de Trump, des patriotes légitimement en colère face à ce qui ressemble de plus en plus à une abolition de la Constitution des Etats-Unis qui ne dit pas son nom et face à ce qui est effectivement un coup d’Etat, intrusion immédiatement condamnée par Trump, et qui semble avoir été menée par des Antifas rémunérés par on ne sait qui (mais on s’en doute) fonctionne désormais très clairement comme a pu fonctionner l’incendie du Reichstag en Allemagne en 1933.
Tous les grands médias américains, qui s’étaient réjouis de l’intrusion dans le Capitole de gauchistes excités il y a deux ans et demi lors des auditions qui ont mené Brett Kavanaugh à devenir juge à la Cour Suprême, ont soudain parlé de “viol” du “temple de la démocratie” (qui n’est pas violé quand des gauchistes excités y pénètrent).
Les centaines de milliers de personnes qui étaient venues à Washington pour dénoncer le vol de l’élection présidentielle et exiger le respect du suffrage universel et de la Constitution ont été qualifiées d’“ennemis intérieurs”, et l’ignoble vieillard sénile et corrompu Joe Biden les a qualifiées globalement de “terroristes”.
Le Président Trump, qui avait appelé à une manifestation paisible (et la manifestation a été paisible) et conforme au Premier amendement a été qualifié de “criminel”.
Des Démocrates en rut ont appelé à sa destitution immédiate. Des Républicains qui ont apparemment hâte d’être soumis aux Démocrates ont joint leur voix à ces derniers, dont trois sénateurs. Des appels ont été lancés au traitre Mike Pence pour qu’il exige la démission de Donald Trump, le remplace immédiatement et lui fasse quitter les lieux.
Le FBI, dirigé par le traitre Christopher Wray, a dressé une liste de suspects et a laissé entendre que Trump pourrait être placé sur cette liste.
Nancy Pelosi, écumante de rage, a demandé au chef d’état-major des armées de retirer les codes nucléaires à Donald Trump et décidé d’enclencher une procédure de destitution accélérée qui devrait s’enclencher aujourd’hui, le but étant que Donald Trump ne puisse pas se présenter en 2024 et que le mouvement politique qu’il incarne soit réduit en cendres. Nancy Pelosi a évoqué aussi le 25ème amendement, déjà évoqué contre Trump plusieurs fois par des gens de gauche qui voulaient en 2017 l’envoyer en asile psychiatrique, et elle dit que Trump doit être relevé de ses fonctions pour incapacité mentale à exercer la présidence. D’autres Démocrates affirment que Trump est coupable de haute trahison, un crime qui conduit dans le droit américain à la peine de mort.
Les milliardaires gauchistes qui tiennent Twitter et Facebook ont vite fermé les comptes de Donald Trump et tous les autres comptes portant le nom de Trump, mais aussi ceux de tous les gens travaillants ou ayant travaillé pour Donald Trump, et ceux de tous les gens qui sont ou ont été des avocats de Donald Trump, mais aussi ceux de plusieurs journalistes et commentateurs ayant défendu ou défendant Trump. YouTube supprime des vidéos où il est question de fraudes (car il n’y a pas de fraudes, bien sûr : habituez-vous à la vérité officielle, qui est l’inverse de la vérité) …
L’un des dirigeants de la chaine de télévision ABC a dit qu’il fallait “nettoyer” le pays de tout ce qui pouvait être associé à Trump, et l’utilisation du mot “nettoyer” montre à quel type de personne on a affaire. Les présentateurs de CBS, CNN et MSNBC pensent comme cet infect personnage.
Plusieurs sénateurs qui ont défendu Trump ces dernières semaines ont été menacés d’exclusion du Sénat, et l’un d’eux. Josh Hawley, a vu un contrat de publication d’un livre annulé par la maison d’édition, Simon and Schuster.
Une loi est en préparation à la Chambre des représentants qui pourrait être vite adoptée, et qui accuserait de trahison, au-delà de Trump, toute personne osant remettre en cause la légitimité de l’élection de Joe Biden.
Des mesures sont à l’étude prévoyant que les chaines de télévision où se tiennent des propos “subversifs” (des propos qui ne sont pas de gauche) tomberaient sous le coup de la loi, pour mise en danger du pays. Cela concerne Foxnews (pourtant devenue un clone de CNN pendant la journée), Newsmax et OANN.
Le site Parler, créé pour qu’une alternative à Twitter existe et garantisse la liberté de parole est menacé, et a disparu de l’appstore d’Apple, et du moteur de recherche Google. Les livres de Donald Trump et ceux qui lui sont consacrés et ne le trainent pas dans la fange sont encore en vente sur Amazon et dans les librairies, mais il se peut que cela ne dure pas.
Au train où vont les choses, prononcer le nom de Trump pourrait bientôt devenir un crime aux Etats-Unis, et des gens photographiés dans des rassemblements de soutien à Trump ou ayant publié sur un réseau social des messages favorables à Trump ont été licenciés et ont perdu leur emploi. Des gens identifiés comme ayant soutenu ou soutenant Trump sont agressés dans la rue par des Antifa ou des Black Lives Matter, les milices fascistes du Parti Démocrate.
Les Démocrates n’ont pas encore tous les pouvoirs. On n’ose imaginer ce qu’ils pourront faire lorsqu’ils auront tous les pouvoirs, ce qui pourrait être le cas le 20 janvier à midi.
En cet instant, la démocratie américaine n’existe quasiment plus et l’avancée vers un parti unique prend forme. La Constitution et la Déclaration des droits n’existent quasiment plus non plus, sinon au titre d’apparences agitées par des imposteurs dignes du 1984 de George Orwell. La justice n’existe plus pour les conservateurs et pour quiconque a un lien, même ténu, à Donald Trump. Tout ce que Trump a accompli en quatre ans n’est plus évoqué nulle part (l’évoquer est devenu risqué). Il reste possible pour le moment de se déplacer dans le pays à condition de ne pas parler politique sinon pour chanter les louanges du Parti Démocrate….
Donald Trump n’en reste pas moins l’homme le plus populaire et le plus admiré du pays, le seul qui puisse rassembler les foules. Il a toujours le soutien de plus de la moitié de la population, et le soutien qui lui est apporté augmente depuis le 6 janvier. Et c’est ce qui fait peur aux Démocrates (qui ne méritent vraiment plus d’être appelés Démocrates), et qui savent que la majorité des Américains savent qu’ils ont volé l’élection et que l’ignoble vieillard sénile et corrompu qu’ils veulent installer à la Maison Blanche sert de marionnette à des gens très sinistres
La situation est de plus en plus explosive.
La question qui se pose n’est pas de savoir si les Démocrates entendent régir le pays sur un mode totalitaire, la réponse est à l’évidence, oui.
La question n’est pas de savoir non plus si les Républicains peuvent réagir, la réponse est à l’évidence, non. Le Parti Républicain est devenu un paillasson sur lequel les Démocrates s’essuient les pieds, avec la complicité active d’êtres excrémentiels tels que Mitch McConnell, Ben Sasse, Mitt Romney, et il y a tout juste une petite minorité de sénateurs et de représentants républicains dignes encore de ce nom.
La question n’est pas de savoir si la justice peut être rétablie et s’exercer, et s’il existe encore une Cour Suprême, la réponse est à l’évidence non encore.
La question est de savoir comment va réagir le peuple américain.
Le peuple américain n’a que deux issues, la soumission ou la révolte, quel que soit le moyen d’expression de la révolte. Une fraction du peuple américain a le cerveau essoré et gorgé d’idées totalitaires, je sais…
La question est aussi de savoir ce que Trump, trahi de tous côtés, y compris par son vice-président, mais soutenu par des dizaines de millions d’Américains va faire.
Il est plus que jamais le dernier rempart possible à la destruction totalitaire des Etats-Unis d’Amérique désormais enclenchée.
Donald Trump n’est pas homme à renoncer. Il a décidé de devenir Président pour sauver les Etats-Unis du gouffre vers lequel la clique Obama-Clinton voulait les entrainer. Il s’était promis de “drainer le marécage”, et tout le marécage s’est dressé contre lui aux fins de le tuer et de le faire disparaitre, mais je suis certain qu’il n’a pas dit son dernier mot et qu’il n’a pas renoncé à sauver les Etats-Unis, des dizaines de millions d’Américains attendent.
Je ne pense pas, quoi qu’il se passe, qu’ils laisseront détruire leur pays sans rien dire. Et il est peut-être bien que les ennemis de Trump (qui sont aussi les ennemis du peuple américain et de l’Amérique) aient montré leur vrai visage. Dire que ce visage est hideux et répugnant est en deçà de la réalité, bien en deçà.
S’ils le pouvaient, je suis certain qu’ils auraient déjà fait assassiner Donald Trump et toute sa famille, et je suis certain qu’ils organiseraient des massacres de masse dans tout le pays. Je suis étonné que nul d’entre eux n’ait imaginé encore d’organiser un autodafé et de jeter dans un bûcher au milieu du Mall, en une cérémonie contre “l’esprit non démocrate”, tous les éléments rappelant la présidence Trump.
Je n’imaginais pas que ce qui se passe pourrait survenir aux Etats-Unis, mais avec des gens de gauche, il faut toujours prévoir le pire. Toujours.
Comme l’a écrit mon ami David Horowitz “derrière l’apparence avenante d’un politicien de gauche qui se dit modéré, il y a toujours un totalitaire qui ne demande qu’à jeter le masque”. La gauche américaine a jeté le masque.
Ceux qui observant comme moi la vie politique américaine depuis longtemps savaient depuis l’élection de Barack Obama en 2008 que le masque ne tenait plus qu’à un fil, mais n’imaginaient pas à quel point derrière le masque il y avait l’horreur. Totale. Absolue. Et nul ne doit l’oublier, il y a un maître d’œuvre derrière tout cela : Barack Hussein Obama. Et il y a un pays qui se réjouit, la Chine communiste. Les Démocrates sont fascinés par la Chine communiste et se veulent nomenklatura.
Si les Etats-Unis se relèvent, tout ou presque sera à reconstruire. Si les Etats-Unis ne se relèvent pas, la nuit tombera pour longtemps sur la liberté. Partout sur la planète.
J’ai parcouru ce jour la presse française. De nombreux journalistes français approuvent l’horreur. En 1975, eux, ou leurs prédécesseurs, se réjouissaient de la prise de Phnom Penh par les Khmers rouges et de la chute de Saigon aux mains des communistes nord-vietnamiens. Je constate un penchant chez les journalistes français pour les crapules et le mensonge.
Quand je parcours les titres du Point, du Monde ou du Figaro, je me dis que la Pravda sous Staline était moins horrible. Ce qui me consterne est que des Français puissent prendre ces torchons sales et suintant de haine pour des sources d’information. Ce qui me donne la nausée est de voir en lisant les commentaires que des Français sont endoctrinés par ces torchons sales. Et je ne peux m’empêcher de penser que des journalistes peuvent entrainer des populations dans des directions très sombres. L’Allemagne était un pays civilisé avant de sombrer dans la barbarie et Der Stürmer et d’autres publications du même genre ont joué un rôle.
Certains articles du Point, du Monde ou du Figaro me font penser à la Pravda, d’autres à Der Stürmer. Je me demande comment des journalistes peuvent mentir de manière aussi ignoble et inciter à la haine sans avoir envie de se cracher eux-mêmes au visage lorsqu’ils passent devant un miroir. Je connais la réponse : ils n’ont ni éthique ni scrupule ni honneur.
Source : Dreuz.info