Généralisation du pass sanitaire : Macron officialise l'apartheid sanitaire en France
A sa manière, le Président a préparé une bonne fête nationale pour les Français … vraiment à sa manière. En annonçant le 12 juillet la mise en place d’une vaccination obligatoire pour toute une partie de la population et un régime de ségrégation sociale pour les non-vaccinés en général, Emmanuel Macron instaure l’apartheid sanitaire en France. Les réactions montrent bien une fracture de la société, ce qui est inévitable en période de fanatisme gouvernant, entre la trahison d’une grande partie des élites et la résistance d’une minorité de la population. Rappelez-vous, chers Amis, que ce sont les minorités irréductibles qui sauvent les pays ! Bonne fête nationale, il faut reprendre la Bastille !
Les mesures annoncées par Emmanuel Macron sont dignes de celles d’un système totalitaire. Non pas seulement autoritaire, mais réellement totalitaire, puisqu’il s’agit non seulement d’un contrôle de l’espace public, mais aussi d’un changement de l’homme. Elles sont détaillées ici sur le site du Gouvernement et se divisent en deux catégories : la vaccination obligatoire et la ségrégation sociale des non-vaccinés sur le territoire de ce qui n’est plus une République.
Toute une partie de la population va devoir être vaccinée pour ne pas perdre son emploi, il s’agit de toutes les personnes en contact avec des personnes dites fragiles. Elles ont jusqu’au 15 septembre, avant que des sanctions ne soient prises. Mais les autres sont également concernées, car si elles ne le font pas elles-mêmes, alors il faudra les obliger :
« nous devrons sans doute nous poser la question de la vaccination obligatoire pour tous les Français »
Pour les enfants, adolescents et jeunes adultes, des campagnes de vaccination seront mises en place dans les établissements scolaires et universitaires à la rentrée.
Comme l’explique le porte-parole du Gouvernement, dans une Novlangue parfaite :
« L’heure n’est pas à l’obligation vaccinale mais à l’incitation maximale »
L’on appréciera la nuance, surtout avec la deuxième partie de l’allocution, prévoyant un scission de la société en vaccinés et non-vaccinés, ce qui est parfaitement assumé et revendiqué par Macron :
« Notre choix est simple : faire porter les restrictions sur les non-vaccinés plutôt que sur tous.
C’est le sens du pass sanitaire qui sera étendu. »
De ce fait, les non-vaccinés se verront bloqué l’accès aux restaurants, bars, théâtres, cinémas, centres commerciaux, etc. Mais ce qui est encore plus grave, est qu’à partir du mois d’août, si la loi est votée (rappelez-moi, à ce jour, quel texte concernant le régime du covid n’est pas passé?), les personnes non-vaccinées n’auront pas accès, sauf test, aux hôpitaux et aux établissements médico-sociaux. C’est du fascisme.
L’on notera deux choses. Ce régime ségrégationniste concernera les enfants de plus de 12 ans à la rentrée. Et surtout, cela n’enlève rien à l’obligation de porter le masque, là où il est demandé … Logique.
C’est donc bien une ségrégation sociale qui se met en place, un chantage ouvertement instauré pour obliger les gens à la soumission. Ils se sont soumis aux masques, aux tests, aux autorisations de sortie, aux QR Codes, le pari est fait qu’ils se soumettront avec le temps et à l’instauration de ce monde nouveau, de ce monde carcéral, ce monde d’esclaves.
L’on se rappellera la promesse de Macron en avril :
Heureusement, des voix se lèvent, et parmi les politiques, et parmi la population. Des personnalités du RN, comme Marine Le Pen ou Bardella, parlent de l’autoritarisme de Macron et du recul incomparable des libertés sous son mandat. A Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan dénonce à juste titre un coup d’Etat sanitaire. Mélanchon, de son côté, dénonce un abus de pouvoir et une monarchie présidentielle – étrange poussée nationale dans le discours, quand la tendance est ouvertement globaliste … Certains dans les rangs des LR réagissent aussi:
« Un pass sanitaire pour se rendre dans un centre commercial, c’est-à-dire un pass sanitaire pour manger ?? Se rend-on bien compte de ce que cela signifie en matière de libertés publiques ? Mais dans quelle société M. Macron fait-il basculer la France ? », s’est interrogé le vice-président du parti Gilles Platret. Pour le député Julien Aubert, « l’extension du pass sanitaire revient à instaurer une vaccination obligatoire qui ne dit pas son nom, et à créer deux catégories de citoyens »
L’on notera également les réactions constantes du sénateur LR Alain Houpert, qui dernièrement a déclaré :
« Être un responsable politique, c’est s’engager à défendre corps et âme les valeurs que l’on juge fondamentales pour son pays. Pour cette raison je ne validerai pas par mon vote les mesures discriminatoires annoncées hier par le PR. »
Ou encore le mouvement Les Patriotes, qui condamne cette discrimination imposée par Macron, avec à sa tête Florian Philippot, qui ose lancer le mot d’apartheid, seul qui corresponde à la situation :
Les réactions négatives viennent également de la population. Les restaurateurs toulousains et les patrons de bars, par exemple, refusent de se transformer en Gestapo, comme ils disent avec justesse. Dans le Var, la fédération autonome des pompiers dénonce l’obligation vaccinale et se prononcent pour le respect des libertés individuelles. Certains agents hospitaliers assurent que, s’ils sont obligés de se vacciner, ils démissionneront. Sans oublier de saluer particulièrement ces réactions individuelles :
N’oublions pas une chose : aucun régime totalitaire ne fonctionne sans la soumission des hommes.
Source : Russie Politics