L’ivermectine, le traitement « oublié » qui aide à lutter contre le SARS-Cov 2
En France, la fête nationale a été célébrée sous un auspice nouveau : le pass sanitaire.1
Seuls ceux qui étaient dûment vaccinés contre la Covid-19 pouvaient se rendre au défilé militaire traditionnel. Désormais, il en sera ainsi pour toute la vie citoyenne. Il y aura d’un côté les vaccinés qui pourront mener une vie « normale » à condition toutefois de montrer patte blanche, c’est-à-dire leur pass vaccinal et de l’autre les non vaccinés.
Selon ces mesures les « non vaccinés » ne pourront ni voyager, ni aller au restaurant, ni participer à la vie culturelle ou sportive en intérieur ni même aller au supermarché ! Cela est dû à la politique du « tout vaccinal » adoptée par le gouvernement.
Pour le président du groupe LREM à l’Assemblée nationale, Christophe Castaner, il y a un problème, la Covid-19 et LA solution est le vaccin2. Ceux qui ne veulent pas comprendre cette situation sont exclus de la société. Ce raisonnement simpliste souffre pourtant de nombreuses failles.
D’abord, les vaccins contre le SARS-Cov 2 ne fonctionnent pas aussi bien que les autorités l’affirment. Les pays ayant vacciné la majorité de leur population comptent toujours de nombreuses contaminations. En Israël, 40% des contaminés seraient vaccinés3 ! Aux Maldives et aux Seychelles où la couverture est maximale, le virus continue de circuler et le nombre de cas augmente.
Ensuite, il est désormais établi scientifiquement que certains traitements contre la Covid-19 en prévention et en curatif fonctionnent. C’est le cas de la vitamine D évidemment4. Nous y avons consacré un chapitre complet dans notre documentaire « Maltraités » que vous êtes plus de 150 000 à avoir soutenus. Merci !5
J’aurais l’occasion d’y consacrer une lettre complète. Mais aujourd’hui je voulais vous parler de l’ivermectine. Tout simplement parce que c’est d’actualité.
L’Institut Pasteur a publié le 12 juillet 2021, le jour même des annonces liberticides du président Macron, une étude sur cette molécule dans la revue EMBO Molecular Medicine.6
Un traitement contre la gale
L’ivermectine est un traitement dit antihelminthique, c’est-à-dire antiparasitaire.
Il utilise des avermectines, des composés organiques issus de la fermentation d’une bactérie : Streptomyces avermitilis7. L’ivermectine joue sur les des canaux spécifiques présents dans les cellules musculaires et nerveuses des invertébrés. Ces derniers se trouvent paralysés et meurent. Puis, ils sont évacués par l’organisme.
La médecine vétérinaire s’en sert pour le bétail qui se trouve ainsi débarrassé de ses acariens et autres parasites8. En médecine humaine, ce médicament traite efficacement la gale et les autres parasitoses comme la filariose.9
Il est également utile en dermatologie pour ses propriétés anti-inflammatoires. Les avermectines inhibent la production de cytokines inflammatoires. Son effet sur les parasites de la peau joue peut-être un rôle également, quoique à ce jour, la science ne tranche pas.[7]
Les médecins constatent néanmoins l’efficacité de l’ivermectine pour traiter la rosacée. Comme son nom l’indique, il s’agit d’une affection qui se manifeste par des rougeurs sur la peau. Ce sera sur les joues, le nez, le front et/ou le menton. Sans traitement, ces rougeurs deviennent permanentes.
L’ivermectine inhibe le SARS-Cov 2 in vitro
En avril 2020, des chercheurs australiens issus de différents instituts de recherche en lien avec l’Université et l’hôpital de Melbourne font une découverte exceptionnelle.10
L’ivermectine tue le virus SARS-Cov 2 en moins de 48 heures. Sous l’action des avermectines, le virus ne se développe plus. Dr Kylie Wagstaff n’a pas caché son enthousiasme face aux médias australiens. Elle a précisé que même au bout de 24 heures l’effet du traitement était très efficace sur le virus.
Le Dr Leon Caly, un autre scientifique de l’équipe s’est exprimé ainsi :
« En tant que virologue ayant fait partie de la première équipe à avoir isolé et fait connaître le SARS-COV 2 hors de Chine en janvier 2020, je suis impatient de voir l’ivermectine utilisé comme traitement potentiel contre la Covid 19 ».11
La portée de ces recherches pourraient – et auraient déjà pu – avoir un retentissement gigantesque.
Car les avermectines agissent sur l’ARN du virus SARS-Cov 2 et les scientifiques pensent qu’elles pourraient avoir un effet puissant sur d’autres virus tels que Zika, le HIV, la Dengue et la grippe.[11]
L’OMS met en garde contre l’ivermectine en mars 2021
Les résultats d’avril 2020 n’ont pas rencontré l’enthousiasme et la couverture médiatique qu’ils méritaient.
L’OMS, un an plus tard déconseillait toujours d’utiliser l’ivermectine en dehors d’essais cliniques12. Les scientifiques eux-mêmes dans leur étude ont pris le soin de dire qu’il manquait encore des données et qu’il ne fallait surtout pas s’auto-médicamenter avec l’ivermectine. En effet, les résultats de l’étude sont tellement exceptionnels qu’ils redoutaient que le grand public ne se rue en pharmacie pour se procurer le traitement.
Toutefois, c’est pour se faire vacciner que les patients ont pris d’assaut les officines de quartier ! Et c’est pour préserver la stratégie de vaccination voulue par l’Occident que les médias ont omis de parler de l’ivermectine. Cependant, les autorités de santé de plusieurs régions en Inde, et de certains pays d’Amérique latine, ont décidé de l’intégrer comme traitement dans le cadre d’essais cliniques. Le résultat a été si positif que l’ivermectine a rapidement été adopté comme traitement par de nombreux médecins et hôpitaux.13
31 essais cliniques valident l’usage de l’ivermectine
La position de l’OMS est d’autant plus invraisemblable que l’étude australienne vient essentiellement expliquer ce que les soignants avaient déjà constaté sur le terrain.
En effet, pas moins de 31 études cliniques ont été menées sur l’ivermectine et la Covid-19. Toutes ces études, sauf une, trouvent que ce traitement aide à soulager les patients14. Ces travaux ont été menés aux quatre coins du monde par des chercheurs indépendants.
L’une d’entre elles est assez parlante. L’expérience a eu lieu en Argentine. 800 soignants ont pris en prévention de l’ivermectine en gélule plus un spray nasal à base d’algues rouges antivirales appelées « iota-carrageenan ». 400 soignants n’ont pas pris part à l’étude. Ils n’ont pas pris de traitement préventif.
Dans le groupe des 800, il n’y a pas eu une seule infection ni de test PCR positif. Dans le groupe des 400, il y a eu près de 60% d’infection, soit 230 tests PCR positif. Quand un médecin voit de tels résultats, pensez-vous qu’il hésite encore à prescrire ce traitement ? Pourquoi l’OMS est-elle si réticente à ouvrir les yeux sur les mérites de l’ivermectine ?
12 Juillet 2021, l’étude de l’Institut Pasteur : la confirmation
Ce n’est pas tout. Les scientifiques de l’Institut Pasteur ont démontré que l’ivermectine peut protéger des symptômes de la Covid 19 dans un modèle animal. Lors de l’expérience, ils ont observé une limitation de l’inflammation des voies respiratoires et des symptômes associés.[6]
Ainsi la prise de médicaments à des doses standards réduit les symptômes et la gravité de l’infection chez les animaux. Cela serait dû à son action de modulation sur le système immunitaire.
Pour les auteurs de l’étude, l’ivermectine pourrait donc être considérée comme un agent thérapeutique contre la Covid-19. Ils ne se prononcent pas sur son éventuel effet sur la réplication virale du SARS-Cov 2.
L’un des auteurs de l’étude, responsable de l’unité Lyssavirus de l’Institut Pasteur conclut :
« Nos résultats fournissent une avancée significative et démontrent que l’ivermectine appartient à une nouvelle catégorie d’agent anti-Covid-19 dans un modèle animal. Ces travaux ouvrent la voie à des axes de développement pour de meilleurs traitements contre la Covid-19 chez l’Homme ».
Un calendrier qui pose question
Étonnamment, ces résultats sont annoncés au moment où :
· la létalité due à la Covid-19 en France reste basse malgré une augmentation à la mi-juillet 2021 du nombre de cas15;
· les hospitalisations liées à la Covid-19 restent à un niveau assez bas (7 047 au 14 juillet 2021)16 ;
· et surtout où le président de la République serre la vis pour rendre la vaccination contre la Covid-19 quasi obligatoire.
Ces recherches, si importantes, auraient dû être médiatisées bien plus tôt. Il y a longtemps que la France aurait dû lancer son programme de recherche clinique sur l’ivermectine.
Cela est d’autant plus vrai que le variant Delta selon le Dr Gérard Maudrux est particulièrement peu létal tout en étant très contagieux[16]. Le variant Delta est donc un vecteur facile pour développer l’immunité collective naturelle des Français, d’autant plus sûr qu’en cas d’infection sérieuse, il existe désormais plusieurs traitements plus que prometteurs.
Mais ce gouvernement ne semble pas s’intéresser aux solutions pour traiter la Covid 19.
Il a méprisé les masques au début de l’épidémie, il a interdit l’hydroxychloroquine pour le grand public dès janvier 2020, puis pour les médecins généralistes et même les médecins hospitaliers[4],[5]. Ce gouvernement a dénoncé l’usage de traitements efficaces comme les antibiotiques par certains médecins au cœur de la crise sanitaire[5]. Il a promu le remdesivir du laboratoire Gilead envers et contre tout, alors que ce médicament était notoirement toxique et inefficace.[5]
Ce gouvernement ne semble pas privilégier la bonne santé de la population mais uniquement la diffusion d’un vaccin pour lequel les études sont loin d’être terminées. La seule chose qui compte, c’est que la population soit vaccinée ! L’avenir proche nous dira si cette obsession était licite mais on peut en douter !
Fondation Hippocrate
Source : Réseau International