Contre la Covid, on dispose désormais d’un nombre extravagant de traitements qui marchent !

09.04.2021

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Voici ce que déclarait le Pr Raoult, il y a un peu plus d’un an, le 25 février 2020 :

« Les Chinois, qui sont les plus pragmatiques, plutôt que de chercher un vaccin ou une nouvelle molécule qui soigne le coronavirus, ont fait ce qu’on appelle du repositionnement, c’est-à-dire tester des molécules qui sont anciennes, qui sont connues, qui sont sans problème de toxicité.

Ils ont trouvé, comme cela avait été trouvé sur le SARS et oublié, que sur leur nouveau coronavirus, la chloroquine est active in vitro, ils ont traité des patients et c’est efficace. 

C’est une excellente nouvelle, c’est probablement l’infection respiratoire la plus facile à traiter de toutes.

Et donc ce n’est pas la peine de s’exciter, il faut travailler, voir les molécules potentiellement actives et qui sont immédiatement disponibles sur le marché » [1]

Le Pr Raoult a été très critiqué pour cette déclaration, réalisée dans une vidéo intitulée « coronavirus, fin de partie ? ».

Et pourtant, avec le recul, on peut l’affirmer : le Pr Raoult avait parfaitement raison.

Pas seulement sur l’efficacité de la chloroquine, décelée par les Chinois et désormais validée par plus de 200 études scientifiques [2]

Mais aussi – et cela va sans doute vous surprendre – sur le fait que la Covid-19 est « probablement l’infection respiratoire la plus facile à traiter ».

Certes, ce n’est pas du tout ce qu’on entend à la télévision ou chez les autorités de Santé, qui vous font croire qu’il n’existe aucun traitement efficace (mais seulement des vaccins).

Mais si vous regardez la totalité des études scientifiques, vous verrez qu’un très grand nombre de molécules anciennes ont montré une efficacité sur la Covid-19.

Au moment où je vous parle, nous avons même plus de molécules efficaces que ce qui nous est nécessaire pour nous débarrasser de l’épidémie.

Je sais bien que cela paraît fou, mais c’est une réalité scientifique, et je vais vous le démontrer dans une seconde.

Ce qui est dramatique, c’est que cette réalité scientifique était globalement connue dès l’été dernier.

Nous aurions donc pu éviter le reconfinement de l’automne-hiver, ainsi que des milliers d’hospitalisations et de décès.

Mais pour cela, il aurait fallu suivre le conseil du Pr Raoult, dans sa vidéo de février 2020.

Or les autorités occidentales ont fait le contraire.

Plutôt que de se focaliser en urgence sur les molécules « anciennes et immédiatement disponibles », elles ont tout misé sur des nouveaux traitements (remdésivir, anticorps monoclonaux) et des vaccins.

Cette stratégie a beaucoup profité à Big Pharma, mais elle a coûté des milliers de vies, et causé des dégâts sociaux considérables.

Car toutes les preuves sont là aujourd’hui : de très nombreuses molécules anciennes ont une efficacité incontestable sur la Covid-19.

On a beaucoup parlé du protocole Raoult, associant hydroxychloroquine, azithromycine et zinc, à juste titre car il a obtenu de bons résultats, notamment dans les Ehpad [3].

De mon côté, je me suis focalisé ces derniers mois sur la vitamine D et l’ivermectine – deux molécules totalement inoffensives qui, à elles seules auraient pu nous débarrasser de l’épidémie dès l’été dernier, en prévention et traitement [4].

Mais il y en a d’autres, vous allez voir.

Il y en a même tellement que c’est à se taper la tête contre un mur.

Quand vous aurez fini la lecture de cette lettre, vous verrez qu’on avait repéré très tôt des molécules anciennes, peu toxiques et très prometteuses… et qu’on n’a rien fait, ou presque rien.

Comme l’a reconnu le Pr Caumes récemment, « c’était une erreur stratégique de tout miser sur les vaccins. Je pense qu’on a complètement négligé le traitement » [5].

Parmi les traitements efficaces, figurez-vous qu’on trouve même un banal antidépresseur !

Cet anti-dépresseur marche contre la Covid, il a fait la UNE de l’émission phare « 60 minutes » aux États-Unis !

Je ne suis pas un fan des médicaments contre la dépression, car leur efficacité est au mieux très modeste, et leurs effets indésirables sérieux quand ils sont pris sur une longue période.

Mais pour une personne vulnérable, malade de la Covid-19, prendre un antidépresseur pendant 15 jours comporte un risque infime.

Donc si cela peut lui éviter une hospitalisation et lui sauver la vie, cela en vaut la peine !

C’est ce qui a été prouvé scientifiquement pour l’antidépresseur fluvoxamine.

On sait depuis novembre dernier que c’est un médicament à l’efficacité potentiellement incroyable contre la Covid-19.

Récemment, un grand média américain a fini par s’y intéresser, l’émission 60 minutes sur CBS News.

Dans leur reportage, ils racontent comment une simple pédopsychiatre s’est intéressée à la fluvoxamine en plein début de Covid-19, en mars 2020.

Cette médecin se souvenait avoir lu une étude qui montrait l’efficacité de la fluvoxamine sur la septicémie, un état de « tempête immunitaire » comparable à celle de la Covid.

Elle l’a signalé à un collègue, qui a fait une première étude avec les moyens du bord (20 000 dollars pris sur les fonds de son université).  

Les premiers résultats furent spectaculaires, si bien qu’un milliardaire lui a donné plusieurs centaines de milliers de dollars pour élargir l’étude.

(Notez bien que le gouvernement américain ne les a pas aidés. Il était trop occupé à donner à Big Pharma des milliards pour la recherche sur les vaccins, et des millions pour des « traitements innovants » hors de prix…

…un peu comme en France, où l’Institut Pasteur de Lille a dû compter sur une donation de la Fondation LVMH, plutôt que sur les fonds du ministère de la santé d’Olivier Véran, pour faire des études sur une vieille molécule très prometteuse contre la Covid-19).

En août 2020, l’étude sur la fluvoxamine est finalisée et les résultats sont incroyables : 

·       Dans le groupe de 80 patients qui ont reçu de la fluvoxamine en traitement précoce, aucun n’a vu son état se détériorer, aucun n’est allé à l’hôpital ;

·       Dans le groupe qui a reçu le placebo, 6 sur 72 ont dû être hospitalisés, soit 8 % de l’échantillon.

Comme vous l’imaginez, les auteurs de l’étude avaient envie de crier leur découverte sur les toits !

Mais personne ne les a écoutés, ou presque. 

En novembre, les auteurs ont cru qu’ils allaient enfin réussir à percer le mur du silence.

Car ils avaient réussi l’exploit de publier leur étude dans un journal médical « de référence », le Journal of the American Medical Association (JAMA) [6].

Mais cela n’a pas suffi. Toujours aucune réaction.

Dans un monde normal, dès la publication de ces résultats, les autorités de santé du monde entier auraient dû :

·       Conseiller de traiter les malades les plus à risque avec cette molécule, 

·       Et lancer parallèlement d’autres essais cliniques pour confirmer cet effet.

En France, le ministre Olivier Véran est particulièrement coupable de n’avoir rien fait.

Car ce sont des chercheurs français de l’AP-HP et de l’INSERM qui ont rendu public, dès le mois d’août 2020, une étude observationnelle française pointant l’efficacité des antidépresseurs de la famille de la fluvoxamine contre la Covid-19 [7] !

Il était évident que la balance « bénéfice-risque » de ce médicament était favorable, pour les personnes vulnérables les plus à risque d’hospitalisation.

Mais à l’automne-hiver, quasiment aucun patient n’a reçu cette molécule potentiellement salvatrice.

Pendant ce temps-là, les autorités n’ont vu aucun problème à :

·       Injecter du remdésivir en perfusion à des malades de la Covid-19, sans la moindre preuve d’efficacité ;

·       Puis injecter à des personnes en bonne santé des vaccins utilisant une technologie totalement nouvelle.

En revanche, par « prudence », elles ont refusé de donner à des malades à haut risque, pendant 15 jours, une molécule aussi connue que la fluvoxamine !!

C’est le même drame pour le protocole Raoult : le rapport bénéfice/risque était ÉVIDEMMENT favorable pour la plupart des malades, mais on l’a diabolisé, puis passé aux oubliettes.

Et je ne parle pas de la vitamine D ou de l’ivermectine, où le risque est de 0,00 %, et le bénéfice potentiellement énorme ! Et c’est le cas, également, d’un geste d’hygiène simple et peu coûteux :

Un simple spray nasal & bain de bouche, arme fatale contre la Covid-19 ??

Une large part de l’épidémie aurait pu être évitée si on avait conseillé :

·       D’utiliser tous les jours un simple spray nasal, disponible pour quelques euros en pharmacie ;

·       De faire matin et soir un bain de bouche antiseptique, avec de la bétadine.

Cela paraît fou, encore une fois, mais c’est ce que montrent les études scientifiques.

Commençons par le spray nasal.

On sait depuis au moins 10 ans qu’un extrait d’algue rouge, appelé carraghénane (ou iota-carraghénane), a une efficacité contre les infections respiratoires, en spray nasal [8].

Avant même d’avoir la moindre étude, il aurait été malin de le donner aux personnes à risque, en prévention de la Covid-19. Risque : 0. Bénéfice : prometteur.

Puis, quand les études sont tombées, il n’y avait plus de doute possible.

A l’été 2020, des chercheurs ont confirmé que cette molécule toute simple était efficace contre le coronavirus, in vitro [9].

Tout récemment, une étude argentine randomisée, contre placebo, menée sur 400 personnes a prouvé son efficacité in vivo : en prévention, un simple spray nasal à base de iota-carraghénane a réduit de 80 % le risque d’infection [10] !

Ce n’est pas un une étude « accidentelle » ou une « coïncidence ».

Car plusieurs études ont trouvé des résultats exceptionnels, en associant un spray nasal à des bains de bouche.

C’est logique, car le coronavirus commence par se multiplier dans le nez et la gorge avant de descendre dans les poumons.

Si on le neutralise dès le début, on évite les cas graves – on pouvait s’en douter, mais cela a été prouvé.

Dans une étude indienne, une simple solution saline en spray et bain de bouche a suffi à obtenir d’excellents effets [11].

D’autres études ont obtenu d’excellents résultats des sprays et bains de bouche à base de bétadine, un antiseptique. 

Dans une étude randomisée sur plus de 1 000 patients, ces gestes simples ont permis une réduction de 84 % du risque d’hospitalisation, et de 88 % du risque de décès [12] !

En France, une entreprise intelligente a fini par mettre au point un spray nasal, à partir d’une substance qui neutralise le coronavirus in vitro [13].

Il devait être commercialisé en ce début du mois de mars… mais l’Agence du Médicament a refusé au dernier moment [14].

Pourquoi ? Je ne veux pas être complotiste, mais il est tout de même étrange de voir que nos « experts » ont jugé qu’un banal lavage de nez était beaucoup plus risqué qu’une injection, dans le muscle, d’un ARN messager entouré de nanoparticules (Pfizer, Moderna), ou d’un adénovirus génétiquement modifié (AstraZeneca). 

Et ce n’est pas tout.

Et encore des dizaines d’autres molécules efficaces !

Je vous ai déjà parlé de la colchicine, cette substance naturelle issue du colchique.

Plusieurs petits essais cliniques avaient pointé son efficacité contre la Covid-19, dès l’automne dernier.

En janvier, une grande étude canadienne randomisée [15], menée sur plus de 4 000 patients a montré que la colchicine a permis : 

·       Une réduction de 25 % du risque d’hospitalisation ;

·       Et une réduction des décès de 44 % !

Mais ces très bons résultats ont été oubliés aussitôt publiés [16].

Peut-être que la colchicine n’est « pas assez chère ».

Et on a la même omerta sur une classe de médicaments extrêmement intéressante, les anti-androgènes.

Très vite, des chercheurs ont perçu l’intérêt de ces médicaments contre la Covid-19.

Car on a vu que la Covid-19 était plus grave pour les hommes que pour les femmes.

Et dès le mois de mai 2020, des chercheurs italiens remarquent que des patients sous anti-androgène s’en sortent beaucoup mieux face à la Covid-19 que les autres [17].

L’effet viendrait du blocage d’une enzyme clé dans l’infection à coronavirus, la TMPRSS2.

Or plusieurs médicaments ont un effet favorable sur la TMPRSS2, comme :

·       Un simple antitussif, la bromhexine, qui a obtenu dès juillet 2020 un effet spectaculaire dans une étude iranienne [18] ;

·       La spironolactone, qui associée à la bromhexine a montré une efficacité dans une étude russe [19] ;

·       La finastéride, qui a obtenu 75 % mortalité en moins (non significatif) dans un petit essai randomisé iranien [20] ;

·       Et la dutastéride, efficace selon un essai randomisé brésilien [21].

Et pour mettre tout le monde d’accord, un grand essai clinique brésilien vient de prouver l’efficacité spectaculaire d’un médicament (nouveau) de la même classe, le Proxalutamide.

Tenez-vous bien : il s’agit d’une étude randomisée, contre placebo, en double aveugle et multicentrique, sur 600 patients hospitalisés – bref, tout ce que nos « méthodologues » adorent.

Résultat : 92 % de mortalité en moins dans le groupe traité, par rapport au placebo [22] !!!

La durée médiane d’hospitalisation était de 5 jours dans le groupe traité… contre 14 jours dans le groupe placebo !

Bref, avec une telle efficacité sur des malades hospitalisés, on n’aurait plus aucun problème de surencombrement des hôpitaux.

Et ce n’est qu’une des molécules efficaces parmi d’autres.

Parmi les médicaments prometteurs, les anti-asmathiques simples pourraient avoir une réelle efficacité [23], de même que les anti-histaminiques (médicaments courants contre les allergies) [24].

La metformine, une molécule ancienne, d’origine naturelle, pourrait aussi avoir des effets majeurs et va être bientôt testée dans un grand essai clinique international, à côté de la fluvoxamine et de l’ivermectine [25].

Et il y a aussi quantité de molécules naturelles, sans le moindre danger, qui ont montré d’excellents signaux d’efficacité, comme la vitamine C [26], le zinc [27], la mélatonine [28], la quercétine [29], la propolis [30] ou les huiles essentielles [31]

Même une substance dont personne ne parle, l’huile de nigelle, a obtenu des résultats spectaculaires dans une étude randomisée pakistanaise menée sur 300 patients [32], avec une réduction de 80 % de la mortalité !

Pourquoi ce silence CRIMINEL ? La réponse est simple, hélas

Vous le voyez, le Pr Raoult avait raison : la Covid-19 est « probablement l’infection respiratoire la plus facile à traiter de toutes ».

Si l’Occident avait fait preuve de « pragmatisme » en testant massivement des molécules « anciennes » et « immédiatement disponibles sur le marché », les dégâts de l’épidémie auraient été minimisés dès l’été 2020.

Des centaines de milliers de morts dans le monde auraient été évitées, ainsi que des confinements qui ont causé des catastrophes économiques, sanitaires et sociales.

Alors, pourquoi la plupart des pays occidentaux ont refusé de le faire… et se sont précipités sur le remdesivir (inefficace) et les vaccins (qui ne pouvaient qu’arriver trop tard) ?

A cause du poids gigantesque de Big Pharma sur nos systèmes de santé.

Comprenez bien que ce qui est en jeu, ce n’est pas simplement les profits de l’industrie pharmaceutique sur cette épidémie-là.

Ce qui est en en jeu, pour Big Pharma, c’est la préservation de ses 500 milliards de chiffres d’affaires et ses 100 milliards de bénéfices annuels.

Pour le comprendre, il faut revenir à ce que disait le Pr Raoult, au printemps dernier :

« Tout notre modèle scientifique et économique est basé sur le développement de nouvelles molécules. C’est une affaire financière et culturelle : l’idée qu’on va répondre à chaque fois avec une molécule extrêmement chère. » (BFM TV)

« Si vous dites maintenant, alors qu’on dépense des centaines et des centaines de millions pour trouver des nouvelles molécules, qu’il suffit de recycler des molécules anciennes qui sont génériquées et qui ne coûtent rien, vous sciez toute une branche de la science qui s’est développée depuis 20 ans et donc vous avez les plus grandes difficultés à trouver des gens qui regardent cela avec un œil favorable ». (i24 News)

C’est le modèle économique global de notre système de santé qui est en jeu : 

« Si, ce qui est possible, l’hydroxychloroquine est un médicament relativement général pour les infections virales respiratoires, cela veut dire qu’on avait quelque chose sous la main depuis 70 ans qu’on n’a pas testé. 

Il est possible qu’il y en ait d’autres, de molécules aussi banales, qu’on n’a jamais testé, et qu’on n’a pas testé des molécules qui marchaient. » (i24 News)

Si vous lisez Santé Corps Esprit, vous savez déjà que pour beaucoup de maladies, il existe des méthodes et traitements naturels qui marchent aussi bien, voire mieux que les médicaments.

Leur seul « tort » est de ne pas avoir été testé dans des grandes études randomisées menées sur plus de 1 000 patients – parce que personne n’a intérêt à mettre de l’argent pour réaliser de telles études.

Mais l’épidémie a conduit beaucoup de pays à mener des petites études sur des traitements de la Covid-19… et les résultats obtenus sont la preuve qu’on trouve des « petits miracles » quand on cherche dans les vieilles molécules, notamment naturelles.

Problème : si cela vient à se savoir, ce sont les profits de Big Pharma, mais aussi des milliards d’euros donnés aux chercheurs chaque année qui pourraient être remis en cause.

Car d’immenses progrès de la médecine sont à portée de main, en repositionnant des molécules anciennes.

Exemple : saviez-vous que l’hydroxychloroquine est un anticancéreux très prometteur [33] ?

De même, l’ivermectine a probablement bien d’autres propriétés que son effet anti-parasitaire et anti-viral… une étude récente a montré son intérêt contre le cancer du sein [34] !

Et je ne parle pas de la vitamine D, qui remplace avantageusement le vaccin contre la grippe chez les seniors [35] (vaccin qui représente 2 milliards de chiffre d’affaires pour Sanofi chaque année)…

… et dont une étude récente a montré qu’elle réduit de 17 % le risque de cancers mortels [36].

Des myriades de molécules déjà connues, qui ne coûtent rien, pourraient faire progresser la médecine et les soins de façon spectaculaire.

Mais cela signifierait la fin des méga-profits de Big Pharma.

Alors on ne les teste pas. On refuse de les mentionner. On va jusqu’à censurer ceux qui en parlent.

Ma dernière lettre sur l’ivermectine a été rapidement bloquée sur Facebook… et certains d’entre vous se sont même fait suspendre leur compte pendant 24 heures pour avoir osé la partager !

Il faut ouvrir les yeux.

La tragédie de la Covid-19 en est l’occasion.

Bonne santé,

Xavier Bazin

Source : Santé Corps Esprit

 

 

 

Keyword: