Surpopulation et dépopulation. Mythes et réalités.

10.09.2024

L’analyste politique Pierre-Antoine Plaquevent et le statisticien Pierre Chaillot démontent la doxa du «Good Club».

Conférence des Rencontres de Cara

Les angoissés de la surpopulation avaient-ils tout faux ? Ces Huxley, Ehrlich et autres Malthus qui voyaient dans l’hyper-natalité l’ange fatal de l’apocalypse ? Pierre-Antoine Plaquevent en est convaincu : «la théorie de la surpopulation est une pure escroquerie, une arnaque au service des hyper-riches. Rien ne permet de faire croire à une explosion démographique». Accompagné du statisticien Pierre Chaillot, l’auteur de «Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels», cet analyste politique français, co-fondateur du think tank www.strategika.fr, était l’invité des Rencontres de Cara, le 21 juillet dernier à Genève.

L’occasion pour ces deux covido-sceptiques décriés par les grands prêtres de l’Inquisition politico-correcte de distinguer, chacun d’après sa spécialité, entre propagande, manipulations et faits, la crise Covid ayant démontré combien la réalité pouvait différer du narratif véhiculé par les médias et les agences nationales et internationales. L’occasion également de démonter une fois de plus la doxa assénée depuis des années par le «Good Club». Comptant en son sein William dit Bill Gates, Warren Buffet ou Ted Turner, cette coterie de milliardaires profite de la vague environnementale et de l’objectif 0 carbone, pour promouvoir la vaccination tous azimuts, qui n’est autre qu’un «programme de contrôle démographique camouflé : injectée, l’hormone rend stérile».

Ces hyper-riches estiment que l’on vivait mieux au Paléolithique. Voilà pourquoi le chiffre d’habitants idéal serait de 2 milliards sur Terre. L’objectif non avoué est donc d’éliminer 350 000 personnes par jour. Un projet globalitaire en gestation depuis les années 1920, une fédération mondiale gérée au nom de l’eugénisme, qu’il soit de tendance communiste ou national-socialiste. Deux confrontations qui se rejoignent dans la vision d’un gouvernement mondial écologiste et anti-nataliste.

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